Le véhicule de fonction : comment choisir sa flotte ?
La voiture de fonction est un outil de travail qui fiat toujours rêver. D’ailleurs, c’est un moyen qu’utilisent beaucoup d’entreprises pour motiver ses salariés. Il s’agit d’un avantage en nature qui séduit bon nombre de collaborateurs. Pour l’entreprise, la première préoccupation d‘une flotte serait l’aspect budgétaire. A côté de ce critère, les dirigeants doivent tenir compte d’autres aspects pour réussir le choix de leur parc automobile de fonction. Sur quelles bases ce choix doit-il être fait ?
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Voiture de fonction, un instrument RH ?
Pendant de ce temps de guerre sur les talents, une voiture de fonction constitue un bon moyen de conquête à l’embauche. Cet avantage en nature attire plus de collaborateurs. D’ailleurs, c’est un moyen de fidélisation qui fait partie de l’offre que peut faire un employeur à un candidat lors de son embauche. Cet avantage permet à l’entreprise non seulement d’être attractive mais aussi de retenir ses ressources humaines.
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De plus, c’est l’occasion à l’entreprise de jouir d’avantages fiscaux. En effet, “L’octroi d’un véhicule de fonction permet de diminuer l’impact d’une augmentation salariale sur son propre bilan, en transférant une part du surcroît de charges patronales sur la fiscalité des avantages en nature (AEN), moindre jusqu’à certains plafonds », affirme Grégory Libre, directeur marketing et commercial d’Arval France.
Comment se fait le choix des voitures de fonction ?
Pour composer sa flotte de voitures de fonction, les dirigeants se basent sur plusieurs critères. Le gabarit et la typologie du véhicule sont déterminés en fonction du poste du salarié qui va en bénéficier : commercial, membre du comité de direction, dirigeant…
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La gestion de la flotte des véhicules impliquent l’installation des outils de geolocalisation véhicule pour entreprise mais aussi d’une analyse profonde des informations collectées par ces solutions de tracking. A côté de ces dispositifs, la mise en place d’une Car Policy s’impose. Il s’agit d’un document qui régit la politique automobile globale d’une entreprise. Cette stratégie présente à chaque salarié un ensemble d’instructions à suivre. Elle identifie clairement les objectifs de la flotte d’automobile sur plusieurs plans : juridique, environnemental, besoin de mobilité, financier…
La sélection des voitures de fonction se fait de façon à ce que l’entreprise bénéficie de la taxe sur les véhicules des sociétés (TVS) la plus restreinte possible. Les voitures en diesel sont de plus en plus décriés au profit des motorisations essence ou hybride, voire même électrique. Le choix de la flotte automobile se fait aussi sur la base du coût d’usage : TCO (total cost of ownership).
La sécurité et les contraintes budgétaires : Au top des critères de choix !
L’aspect budgétaire prime sur les préoccupations d’une flotte automobile. Les dirigeants cherchent à mettre à la disposition de leurs collaborateurs des véhicules avec le coût le plus réduit. A côté de ce critère de choix, on assiste à un débat de plus en plus important sur la question environnementale.
Si certaines entreprises choisissant de mettre le paquet pour s’équiper d’une flotte vertueuse avec moins d’émission de CO2, d’autres sociétés privilégient la sécurité. Elles choisissent les véhicules les plus sûrs. De plus, ces organisations dépensent un peu plus pour mettre en place de dispositifs de geolocalisation véhicule pour les professionnels en vue d’assurer le fonctionnement du parc dans les meilleures conditions.
En effet, suite à un accident, la société supporte un coût matériel en plus du coût de l’accident lui-même. Cette charge correspond à l’immobilisation du collaborateur et du véhicule ainsi qu’au temps perdu pendant lequel l’entreprise aurait fait un chiffre d’affaires. Tout ce manque à gagner incite de plus en plus d’entreprises à investir dans l’achat de véhicules plus sûrs et dotés des moyens les plus sophistiqués en matière de géolocalisation.
